Ministère de l'agriculture et de l'alimentation
En 2009-2010, l’agriculture biologique concerne 3,5 % des exploitations françaises. Ce mode de production est plus consommateur de travail, à l’exploitation, quels que soient les produits concernés.
Le Brésil est aujourd’hui une puissance émergente figurant parmi les dix premières économies du monde.
En 2010, le montant global des dépenses pour protéger l’environnement réalisées par les industries agroalimentaires a atteint 757 millions d’euros. Les trois quarts de ce montant correspondent aux dépenses courantes (taxes et dépenses de fonctionnement) et un quart aux investissements et études.
Cet article dresse un état des lieux sur l’utilisation des produits phytosanitaires en France et évalue les possibilités de réduire leur emploi en mobilisant différents états de l’agriculture française définis par des niveaux de rupture allant jusqu’à l’agriculture biologique.
Les consommateurs et les entreprises s’approprient de plus en plus le sujet de l’évaluation des performances environnementales des systèmes productifs, et la production alimentaire est un des secteurs les plus engagés.
Sur la période 2006-2008, 61 % des entreprises agroalimentaires de dix salariés ou plus ont innové. Deux innovations sur trois ont des effets positifs sur l’environnement, aussi bien au cours du processus de production du produit qu’au moment de son utilisation par le consommateur.
Le fioul domestique utilisé pour alimenter les engins automoteurs est la source d’énergie la plus utilisée par les Cuma et les EDT. Presque 90 % des achats totaux d’énergie sont réalisés par les EDT qui effectuent eux-mêmes les travaux tandis que les matériels des Cuma sont généralement alimentés par les utilisateurs.
Au nord d’une ligne joignant l’estuaire de la Gironde aux Vosges, les sols agricoles, cultivés ou toujours en herbe, dépassent les espaces naturels, sols boisés et landes, maquis ou garrigues. Au sud, les espaces naturels sont plus représentés, bien que plusieurs régions soient cependant de grandes régions agricoles. Les espaces naturels dominent aussi dans les départements d’outre-mer.
Dans le domaine environnemental, les établissements de grande taille sont souvent précurseurs dans l’acquisition des équipements antipollution. Mais l’effort d’investissement est relativement plus important pour les petits établissements. Les orientations air-climat et déchets gagnent du terrain. Le choix des domaines d’intervention majoritaires apparaît étroitement lié à l’activité.
Baisse de la consommation domestique d’eau, augmentation de la gestion en régie, réduction des écarts de prix entre régie et délégation : telles sont les principales inflexions de tendance observées dans les services d’eau et d’assainissement entre 2004 et 2008. La progression de l’intercommunalité, la hausse du prix de l’eau liée au poids croissant de l’assainissement, la baisse du taux de perte d’eau et le développement des services publics d’assainissement non collectif (SPANC) se confirment.
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