Ministère de l'agriculture et de l'alimentation
En 2016, la France métropolitaine compte un peu moins de 440 000 exploitations agricoles, soit 11 % de moins qu’en 2010 lors de leur dernier recensement. La baisse du nombre d’exploitations est plus marquée pour les filières d’élevage (- 15 %).
Les agriculteurs privilégient de plus en plus les organismes spécifiques pour collecter leurs déchets professionnels.
Plus de 7 700 exploitations agricoles cultivent des fleurs, plantes ornementales ou exercent une activité de pépinière en France métropolitaine en 2013, sur une surface de 20 400 ha de ces cultures.
Trois ans après la conversion au bio, la quantité de travail totale est significativement plus élevée dans les exploitations converties que dans les exploitations conventionnelles comparables.
En 2013 en France métropolitaine, plus de 4 exploitants sur 10 ont une formation générale ou agricole de niveau bac ou plus.
Dans un contexte d’instabilité croissante, l’association de plusieurs ateliers productifs suffisamment conséquents peut être une réponse. Ce dossier cherche à caractériser ces exploitations multispécialisées et de grande taille.
En 2013, 9 exploitations agricoles sur 10 sont propriétaires d’au moins un tracteur pour un parc total d’un peu plus d’un million de machines.
En 2013, l’agriculture des Antilles, de la Guyane et de La Réunion repose sur 20 600 exploitations et mobilise 39 600 personnes de façon régulière.
En 2013, en France métropolitaine, le volume de travail apporté par l’ensemble des actifs agricoles s’élève à 723 000 équivalents temps plein, assuré à 84 % par 854 000 actifs permanents.
Si à l’échelle d’une exploitation agricole la succession se vit comme une transmission de terres, d’activités voire de savoir-faire, à l’échelle du territoire, le phénomène successoral peut également conduire à des évolutions de la physionomie de l’agriculture.
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