Ministère de l'agriculture et de l'alimentation
Ce dossier recense les principaux indicateurs d’utilisation des produits phytosanitaires en viticulture et pose la question de l’effet de la pression parasitaire sur les variations de l’indicateur de fréquence de traitement (IFT) entre 2010 et 2013.
L’utilisation pour les statistiques de la nouvelle définition de l’entreprise, fondée sur une approche économique, conduit à modifier légèrement la répartition sectorielle des effectifs et à réduire la concentration géographique des entreprises agroalimentaires.
En 2014, les IFT moyens tous traitements en grandes cultures s’échelonnent entre 2,4 et 6,5 selon les espèces, hors pomme de terre.
Trois ans après la conversion au bio, la quantité de travail totale est significativement plus élevée dans les exploitations converties que dans les exploitations conventionnelles comparables.
En 2010, une exploitation sur deux met en oeuvre des pratiques visant à accroître la valeur ajoutée des productions agricoles (agriculture biologique, production sous signe de qualité, circuit court) ou des activités de diversification para-agricoles. Ce dossier vise à évaluer l’emploi généré par certaines de ces démarches.
Dans un contexte d’instabilité croissante, l’association de plusieurs ateliers productifs suffisamment conséquents peut être une réponse. Ce dossier cherche à caractériser ces exploitations multispécialisées et de grande taille.
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