Ministère de l'agriculture et de l'alimentation
La réforme de la PAC de 1992 et son prolongement "Agenda 2000", ont permis de maîtriser l’augmentation des dépenses communautaires en faveur de l’agriculture, introduisant une modification profonde du mode de soutien accordé aux agriculteurs dans les secteurs des grandes cultures et de la viande bovine.
La décentralisation a ouvert de larges opportunités d’action aux collectivités territoriales dans le domaine de l’intervention en faveur des espaces ruraux. L’identification de ces dépenses soulève des difficultés d’ordre méthodologique, tenant principalement à des problèmes de définition.
Depuis les premières lois sur la décentralisation, les collectivités territoriales sont devenues des acteurs importants de la vie économique et sociale française. Le secteur agricole n’échappe pas au champ des interventions de ces collectivités, qui viennent ainsi compléter les mesures de politique agricole communautaires et nationales.
Cet article présente une étude exhaustive des concours publics agricoles nationaux, décomposés selon trois catégories : soutien des marchés et aides aux produits ; autres mesures de politique agricole (installation, compensation de handicap naturels, agri-environnement, calamités agricoles...) ; aménagements fiscaux et dépenses des collectivités territoriales.
La réforme de la PAC de 1992 et son prolongement "Agenda 2000", ont permis de maîtriser l’augmentation des dépenses communautaires en faveur de l’agriculture, alors qu’une importance accrue était accordée dans le même temps au développement rural et aux préoccupations agri-environnementales. Ces tendances de fond s’inscrivent dans l’évolution des dépenses du FEOGA qui sont retracées dans cet article depuis 1990.
Alors que les gains à attendre suite à la libéralisation des échanges, en particulier pour les PED, sont généralement présentés comme essentiels aux progrès de la lutte contre la pauvreté, cette étude souligne leur faiblesse lorsqu’ils sont exprimés en termes relatifs et leur sensibilité aux hypothèses réalisées sur le fonctionnement des marchés.
Cet article cherche à évaluer les impacts sur la filière laitière française de divers scénarios de libéralisation des échanges des produits laitiers qui pourraient résulter des négociations internationales. Quatre scénarios ont été testés à partir du modèle français MEGAAF. Les deux premiers portent uniquement sur les instruments favorisant les exportations. Le troisième scénario considère une modification des instruments relatifs aux importations.
Cet article présente les résultats de simulations obtenues à l’aide du modèle macroéconomique de l’agriculture française MAGALI, construit conjointement par le MAAPAR et le MINEFI avec le concours de l’INRA.
Cet article présente la méthodologie d’estimation des coûts de production des principaux produits agricoles utilisée dans le modèle microéconomique élaboré et mis en œuvre conjointement par l’Inra, l’Insee et le SCEES à partir du Réseau d’information comptable agricole. La première partie de cet article retrace les principales étapes du développement de ce modèle et les applications auxquelles il a donné lieu, tant dans un contexte national qu’européen.
Fondé sur les données de comptabilité d’exploitations agricoles européennes, le Réseau d’Information Comptable Agricole (RICA) a été institué dès la mise en place de la Politique Agricole Commune (PAC) à la fin des années 60 et permet chaque année, depuis trente cinq ans, d’établir un diagnostic précis de la santé financière et économique du secteur agricole européen.
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