Ministère de l'agriculture et de l'alimentation
Les pratiques sanitaires de prévention et les soins apportés aux animaux sont plus fréquents dans les élevages laitiers que dans les élevages allaitants, en lien avec les spécificités des élevages.
En 2017, les ventes conclues par les industriels de l’agroalimentaire s’élèvent à 126 milliards d’euros, soit une hausse de 3,7 milliards d’euros par rapport à 2016. Cette augmentation s’explique avant tout par la hausse généralisée des prix.
En 2016, la France métropolitaine compte un peu moins de 440 000 exploitations agricoles, soit 11 % de moins qu’en 2010 lors de leur dernier recensement. La baisse du nombre d’exploitations est plus marquée pour les filières d’élevage (- 15 %).
La récolte de bois commercialisé progresse de 1,4 % en 2016 et s’établit à 37,9 millions de m³, niveau le plus haut observé hors épisode de tempête.
En 2016, le résultat courant par actif non salarié des exploitations moyennes et grandes est de18 300 euros en moyenne, en baisse de 29 % par rapport à 2015.
En 2015, les industriels de l’agroalimentaire poursuivent leurs efforts financiers pour limiter l’impact de leur activité sur l’environnement.
En 2016, la valeur de la production commercialisée s’élève à 123,5 milliards d’euros en diminution de 1,2 milliard d’euros par rapport à 2015.
En 2015, la production industrielle d’aliments composés pour animaux de ferme s’établit à 21 millions de tonnes, en légère baisse par rapport à 2012 (- 2 %).
Les agriculteurs privilégient de plus en plus les organismes spécifiques pour collecter leurs déchets professionnels.
En 2013, en viticulture conventionnelle, près de la moitié des traitements contre le mildiou et un tiers de ceux destinés à lutter contre l’oïdium sont appliqués à une dose inférieure à la dose homologuée.
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