Ministère de l'agriculture et de l'alimentation
En 2018, la production française d’agneaux se replie de nouveau en têtes et en poids mais les abattages sont en légère hausse. L’excédent commercial des échanges d’agneaux vivants se dégrade, du fait de la forte baisse des exportations. Le repli de la demande de viande ovine se répercute sur les importations.
Après le rebond de 2016, la production ovine française se tasse en 2017, aussi bien en têtes (- 0,6 %) qu’en poids (- 0,9 %) sous l’effet de la baisse de la production d’agneaux (- 1,6 %) et malgré la hausse de la production d’ovins adultes (+ 6 %).
En 2016, la production ovine française se redresse (+ 3 % sur un an), aussi bien pour les agneaux que les ovins adultes.
Après une baisse importante entre 2011 et 2013, la production française d’agneaux progresse en poids pour la seconde année consécutive.
En 2014, le cheptel ovin français poursuit sa baisse mais de façon moins importante que les années précédentes.
Après une baisse importante en 2009 et 2008, la production ovine française se stabilise en 2010, les abattages d’ovins en 2010 se situant quasiment au niveau de 2009.
Soumis aux restrictions de mouvements imposés par les règles européennes de protection sanitaire contre la fièvre catarrhale ovine, le commerce des broutards subit depuis deux campagnes de graves perturbations.
Avec 95,7 millions de têtes, les effectifs ovins de l’Europe en novembre-décembre 2007 restent stables par rapport à 2006 grâce notamment à l’intégration de la Roumanie.
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